Les premières expérimentations du projet Fiat Lux ont été présenté lors du « COLLOQUE PHOTOGRAMMÉTRIE NUMÉRIQUE ET PERCEPTION 3D : LES NOUVELLES CONQUÊTES » à l’École Nationale des Sciences Géographiques le 15 – 17 Mars 2016.
Anthony Pamart, Friederike Peteler, Adeline Manuel et Livio de Luca de l’UMR 3495 CNRS / MCC MAP-Gamsau ont co-écrit un poster sur la « DÉFINITION D’UNE MÉTHODE DE TRAITEMENT PHOTOGRAMMÉTRIQUE MULTIDIMENSIONNEL »
Résumé :
La photogrammétrie est devenue un moyen privilégié pour relever, documenter et analyser le patrimoine culturel matériel. Ces dernières années les capacités de la numérisation 3D ont subi un essor considérable, aidées d’une part par les évolutions du matériel photographique, d’autre part grâce à l’automatisation des processus de traitement informatique. L’empreinte 3D, sous forme d’un nuage de points qui restitue la complexité géométrique à une échelle donnée, à un instant t, la surface visible d’un objet patrimonial est devenu une ressource précieuse pour son étude. Ce travail aborde la possibilité d’enrichir une acquisition initiale, par l’ajout de données multidimensionnelles (spatiales, temporelles ou spectrales) mais aussi de propager les informations propres à chaque dimensions par un système de transfert d’annotations sémantiques 2D/3D.
Carte d’ombrage calculée sur l’orthophotomosaïque très haute-résolution sur le cas d’étude de la Trinité, Anthony Pamart (MAP)